vendredi 12 septembre 2014

La nouriture du futur


                         "Que ton aliment soit ton seul remède"      


      

Cour sur la nature du kabbaliste Rav Yovel EchRov Hacohen

                                                                                      
La bouche est faite pour recevoir uniquement les fruits et légumes.

- Tout ce qu'il faut pour constituer un corps ce trouve dans la terre.

- Il y a 16 catégories qui sont les fondements de notre constitution naturel, lorsque nous mourons, des bactéries ou autres ramènent le corps à ces 16 catégories de bases,
15 sont dans la terre et 1 dans l'air ou le ciel ou le monde d'en haut.
- C'est dans les fruits et légumes qu'on retrouvent les 15 catégories de bases, en second degré, on les retrouvent dans la viande, poisson.
- Les fleurs sont aussi secondaire.

- La guérison est dans la nature, Les lois de la nature sont importantes pour guérir.
- Une des lois de la nature est : Soyez joyeux et heureux de vivre et vous serez guéries de toute les maladies.
- C'est une force simple qui est la force de vie, elle est en nous mais pas toujours, car lorsqu'on est malade on s'y complaît ( dans la maladie ) et on perd des forces de vie.
- C'est la force simple qui guérie et rien d'autre,

- Quand on reçoit un mal physique, c'est que pour le bien,
- Tousser fait sortir la maladie qui est en nous, tousser guérie. Par contre prendre un sirop ou un cacher qui nous empêche de tousser, nous rend malade.
- Une diarrhée est là pour nous guérir, elle élimine le malade la nourriture, On évacue par la peau, quand la peau est en mauvaise état, c'est un signe positif et non le contraire, car ça montre une guérison de la personne. 
- La lumière sort par les yeux.                          
- Pas de vitamine en cacher.
- Les cachets sont des narcotiques qui touche 
notre système nerveux pour le calmer et 
ne pas prendre conscience de la maladie 
qui nous touche.
- Chaque acte négatif crée un problème 
dans notre maison qui est aussi notre corps.
- Les microbes qui sont dans notre corps 
sont des clipotes  "écorces "
 Du Kabbaliste Rav Yovel EchRov Hacohen

http://www.youtube.com/watch?v=eLwgI1jejA0 ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Recherche fait par le Professeur Canadien Richard Béliveau
qui travaille à l'université du Québec. Il travaille sur la
prévention et le traitement du Cancer.

" Une des conséquences de la consommation mal bouffe et de produits
industriellement transformés c'est la surconsommation d’Oméga 6
versus Oméga 3, les Oméga 3 génèrent des molécules anti inflammatoires,
les Oméga 6 génèrent des molécules pro inflammatoires. De façon
traditionnel dans notre alimentation nous consommons un ration
(Oméga 6 et Oméga 3) de 1 pour 1, qu'on soi chasseur cueilleur
ou
agriculteur éleveur dans notre histoire on a consommés un ration
de 1 pour 1.  Avec l'industrialisation de la
mal bouffe on utilisent surtout des huiles hydrogénées et des
huiles de Tournesol et de Mais qui ne contiennent que des Oméga 6
donc les graisses qui proviennent de l'industrie de la mal bouffe
ou de l'industrie de la transformation industrielles, sont des
graisses qui amènent au niveau métabolique un ration de 25 (oméga 6)
pour 1 (oméga 3), lorsque qu'on consommes de la nourritures
industriel on se met métaboliquement et physiologiquement en mode
pro inflammation ". " Hors l'inflammation fait le lit du cancer, à l'origine d'un cancer
il y a toujours une cellule agressée par un agent extérieure, qui
peut être un virus, une irradiation ou un produit chimique,
si l'organisme est en bonne santé la cellule endommagé est détecté
par les lymphocytes NK de l'anglais Naturol Killer, les tueurs naturels
qui la pousse à se suicidé, c'est se que l'on appelle l'Apoptose.

Lorsque le système immunitaire est affaiblie par une inflammation chronique
et l'agression permanente d'agent chimique l'apoptose échoue et la cellule
défectueuse commence à se multiplier, c'est le début de la tumeur qui
pour se développer a besoins d'être nourrie par des vaisseaux sanguins
on appel se phénomène l’angiogenèse, a terme l’angiogenèse conduit à
la création de métastase, c'est à dire à la colonisation de l'organisme
par les cellules cancéreuse ".
" Dans certains végétaux qu'ont consomment, qu'on appel des fruits
et des légumes, on retrouvent également des molécules, qui
pharmacologiquement on le même effets que certains médicaments
de chimiothérapie, certaines de ses molécules la sont cytotoxique, elles
détruisent les molécules cancéreuses, certaines de ces molécules la sont
pro apoptotique, elles induisent la cellule cancéreuse à se suicidé,
certaines de ces molécules la sont anti inflammatoire, elles bloquent
l'inflammation dont la cellule cancéreuse à besoins pour favorisé
sont développement ".

 " Le potentiel d’inhibition de fruits et de légumes ont étaient trouver
dans une études sur des cellules de tumeur d'un cancer du cerveau, un glioblastome.
Un glioblastome a été traité avec un cocktail de végétaux anti cancer,
90% du glioblastome à disparue.
La tumeur d'une sourie a été traité avec un cocktail de végétaux
les plus anti cancer qu'ils ont trouvés dans des test in vitro,
il y a eu une réduction de 90% de la masse tumoral ".
Ces végétaux trouvés par ce professeur sont si dessous, je l'ai ai mi
par ordre les plus anti cancer (catégorie 1) au moins anti cancer (catégorie 3).

                                          L'interview du proffésseur en question commence à 1h44,
                                         mais prenez le temps de voire toute la vidéo, elle est
                                         vraiment très intéressent.
                                         La carte des cancers est trés parlante, ils en parlent à
                                        1h42 de la vidéo                                        
                                         
 (Si vous connaissez la traduction des mots anglais, là ou il y a des blancs, je serais bien content
que vous me les communiquiez dans vos commentaires, merci).                                        
catégorie 1 :
Garlic = ail,
Leek = Poireau,
Brussels sprouts = chou de Bruxelles,
Beetroot = Betterave,

Cranberry = Canneberge,
Cabbage = chou,
Grenn onion = Oignon vert = Cébette,

Borecole = Borecole,
Broccoli = Brocoli,
Cauliflower = chou fleur,

Red Dandelion = Pissenlit rouge,
Spinach = Épinards,

Grenn Dandelion = Pissenlit vert,
Kale = chou,
Yellow onion = Oignon jaune,

catégorie 2 :
Green Bean = Fève verte,
Red Cabbage = Chou rouge,

Asperagus = Asperge,
Celery = Céleri,
Stawberry = ?
Rutabaga =
Fiddiehead = ?

Aoom Squash = Courge aoom,
Jatapeno = ?
English Cucumber = Concombre Anglais,

catégorie 3 :
Tomato = Tomate,
Radicchio = ?
Cherry = Cerise,

Fennel Bulb = Bulbe de fenouil,
Carrot = Carotte,
Bock Choy = ?
Red Potato = Patate rouge,
Endive = Endive,
Romaine Letucce = Laitue Romaine,

Boston Lettuce = Laitue Romaine,
Orange sweet pepper = Poivron orange,
Eggplant = Aubergine,

Radish = Radis,
Cantaloup = ?
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Dans le même reportage,
" le Curcuma est connue depuis la nuit des temps pour
ces pouvoirs anti inflammatoire et donc anti cancérigène
ont étaient confirmés dans plus de 3000 publications
scientifique ".
La journaliste Marie-Monique Robin (dans son reportage
" notre poison quotidien ").

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Fruits et légumes

Une consommation régulière de légumes et de fruits diminue le risque de cancer de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, de l’estomac et du poumon (pour les fruits seulement). Leur effet protecteur serait associé à leur teneur en divers nutriments et constituants tels que les fibres, capables d’agir sur des mécanismes potentiellement protecteurs contre le cancer. Une alimentation riche en fibres (céréales complètes, fruits, légumes, légumineuses) semble par exemple associée à un moindre risque de cancer colorectal. En France, 57 % des adultes consomment insuffisamment de fruits et légumes (moins de 5 portions par jour) et 35 % sont de petits consommateurs (moins de 3,5 portions par jour).
http://www.inserm.fr/index.php/thematiques/cancer/dossiers/cancer-et-nutrition


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Pourquoi une carence en oméga 3 peut-elle favoriser des comportements dépressifs ?



Des chercheurs de l’Inserm et de l’INRA associés à des chercheurs espagnols montrent qu’un régime appauvri en acides gras essentiels oméga 3 diminue chez la souris les fonctions des neurones impliqués dans le contrôle des comportements émotionnels. Ces résultats publiés dans Nature Neuroscience apportent les premiers éléments biologiques permettant d’expliquer les corrélations entre un régime pauvre en oméga 3, très répandu dans le monde industrialisé, et la survenue de troubles de l’humeur comme la dépression.

Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXème siècle.                                      

Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras
polyinsaturés oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés
oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé
d’augmenter au cours du XXème siècle,
au détriment de la quantité en oméga 3.
http://www.inserm.fr/index.php/actualites/rubriques/actualites-recherche/pourquoi-une-carence-en-omega-3-peut-elle-favoriser-des-comportements-depressifs                                                                                                                                                                             
                                                                                                               
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Manger des baies, c’est bon pour la mémoire

Consommer des fraises, des myrtilles ou du cassis protègerait notre cerveau et aiderait à entretenir notre mémoire.

Un trou de mémoire ? Mangez quelques baies par jour, cela favoriserait la mémoire.
Selon un article publié dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, la consommation de quelques baies quotidiennes aiderait à préserver la mémoire et préviendrait le déclin des capacités cognitives lié au vieillissement. Les chercheurs ont décortiqué les études portant sur l'impact des baies au niveau cellulaire et sur les fonctions cognitives chez les humains et les animaux. Ils ont découvert que les baies peuvent protéger le cerveau en changeant la façon dont les neurones communiquent. Ce changement aurait pour effet d’améliorer les fonctions motrices et cognitives. Il préviendrait aussi les inflammations du cerveau.
Des antioxydants qui protègent les cellules
Les vertus supposées des baies tiendraient de leur forte teneur en antioxydants. Les fruits rouges et noirs comme les fraises, les cranberries, les myrtilles ou le cassis disposent d’un pouvoir antioxydant qui protège les cellules de l’agression des radicaux libres. S’ils ne sont pas suffisamment neutralisés par l’organisme, les radicaux libres peuvent être responsables de maladies cardiovasculaires, de cancers et de maladies liées au vieillissement de la peau. Consommer des aliments riches en antioxydants permettrait de pallier les carences en antioxydants naturels de notre organisme. Pour mieux lutter contre les radicaux libres et prévenir le vieillissement accéléré de nos cellules causé par de nombreux facteurs comme la pollution, le tabac, l’exposition au soleil, le stress, etc.
Ainsi les polyphénols des baies aideraient les cellules protectrices du cerveau dans leur travail de suppression et de recyclage des déchets biochimiques, un processus qui décline avec l’âge.
Antioxydants : on goûte aux super-aliments
Pour préserver notre mémoire et notre cerveau, on peut donc se lâcher sur les baies. Et pas uniquement les fraises, les myrtilles et le cassis. Certes le cassis est réputé pour être un excellent tonifiant, riche en antioxydants et la plus généreuse en vitamine C.
Mais il existe des baies moins connues tout aussi bénéfiques pour la santé. Les baies de goji par exemple font partie de ce qu’on appelle les "super-aliments", ces fruits dotés de pouvoirs nutritionnels exceptionnels. La baie de goji, constitue comme le cassis un allié de notre tonus. Mais si elle a tant la cote dans l’univers de l’alimentation bio, c’est grâce à ses propriétés supposées : elle serait bonne pour le cœur, le foie, le cerveau, la fertilité et aurait une action anti-cancer.http://www.topsante.com/nutrition-et-recettes/la-sante-par-les-aliments/les-bons-aliments/manger-des-baies-c-est-bon-pour-la-memoire-23248
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Cancer : les baies pourraient booster la thérapie

Les baies sauvages d'Amérique du nord pourraient jouer un rôle de stimulant dans le traitement du cancer.


La consommation de baies sera-t-elle un jour prescrite en complément des médicaments anticancéreux ? Une étude parue dans la revue scientifique Journal of Clinical Pathology nourrit cet espoir. Des chercheurs de l'Université de Southampton et du King's College Hospital, à Londres ont mené un premier test positif sur l'impact des baies sur la thérapie contre le cancer. Ils ont évalué l'effet d'un extrait de baies d'aronia, un arbuste originaire d'Amérique du Nord, sur des échantillons de cellules cancéreuses du pancréas.
Le cancer du pancréas est un cancer rare mais très redoutable. Il est difficile à soigner et les chances de survie sont réduites à moins de 5 % pour les malades cinq ans après le diagnostic.
L'étude a découvert que lorsque les extraits de baie étaient utilisés en complément de la gemcitabine, un medicament qui combat le cancer, les cellules malades étaient plus nombreuses à mourir que lorsque seul le traitement était administré.
En revanche, ce résultat n'a été observé que sur des cellules cancéreuses. Aucune réaction n'a été observée sur des cellules saines humaines.
Pour les chercheurs, ce rôle de boosteur d'efficacité des baies reposerait sur les fameux polyphénols, ces antioxydants que l'on trouve en nombre dans les fruits rouges. Ces molécules seraient capables de réduire le nombre de cellules nuisibles.

Une piste de réflexion

"Il est trop tôt pour conclure que les polyphénols extraits des mûres ont un effet sur les patients atteints de cancer du pancréas", prend soin de préciser un des auteurs de l'étude. Il est également prématuré de recommander une supplémentation de baies dans le cadre des chimiothérapies conventionnelles. Mais ces études suggèrent des approches innovantes pour tenter d'améliorer le traitement d'un cancer pour lequel il y a eu peu d'avancée scientifique ces dernières décennies, conclut l'étude.
Par le passé, plusieurs travaux ont attribué des propriétés bénéfiques des baies sur la mémoire ou contre le vieillissement cellulaire notamment.
http://www.topsante.com/medecine/cancers/cancer-du-pancreas/soigner/cancer-les-baies-pourraient-booster-la-therapie-70243
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Recherche fait par le Professeur Canadien Richard Béliveau
qui travaille à l'université du Québec. Il travaille sur la
prévention et le traitement du Cancer.


Pourquoi consommer des céréales de grains entiers? 

Les nutritionnistes nous en parlent depuis longtemps. Les céréales de grains entiers c'est important. Pourquoi? Parce qu'une céréale est constituée de trois sous-compartiments distincts qu'on appelle l'endosperme, le germe et le son. Lorsqu'on fait la farine blanche, on enlève les deux compartiments les plus importants que sont le germe et le son et on ne garde que l'endosperme qui, essentiellement, est de l'amidon. Or, les substances les plus importantes d'un point de vue nutritionnel se retrouvent dans ces deux compartiments-là.

Ce sont les fibres, que vous connaissez, les minéraux, mais également des substances phytochimiques qui ont un rôle important dans la prévention de plusieurs maladies chroniques ainsi que d'autres molécules comme des phytoestrogènes de la famille des lignanes, qui ont un rôle majeur également dans la prévention de certains cancers qui sont hormono-dépendants. On a simplement créé la farine blanche pour des besoins industriels parce que la farine blanche ne rancit pas. Or, les produits de rancissement se retrouvent dans les substances qui ont le plus de propriétés nutritives. Il faut suivre le guide alimentaire canadien et consommer des céréales de grains entiers plutôt que des céréales de farine blanche. Cela est clairement associé : la consommation de céréale de grain entier, à une réduction majeure de l'incidence des maladies cardio-vasculaires. Cela correspond à des réductions de 40 % pour les maladies cardio-vasculaires, c'est énorme. Cela réduit l'oxydation des LDL, cela réduit le mauvais cholestérol dans le sang, cela a un impact majeur sur le contrôle de la glycémie, cela a un impact majeur sur le contrôle de la tension artérielle et, dans plusieurs études, la consommation de grain entier est associée à une réduction draconienne de l'incidence des cancers dans les populations qui consomment, sur une base régulière, des céréales de grain entier.


Le thé vert et ses cathéchines 

Le thé c'est 2500 ans d'histoire. C'est le deuxième breuvage le plus consommé au monde après l'eau. On doit comparer le thé au vin, c'est la seule comparaison qui mérite d'être faite. C'est un breuvage très diversifié, avec des milliers de variétés. C'est un breuvage associé à l'hospitalité, à la méditation, à l'introspection et à l'amitié.


Lorsqu'on voyage en Afrique du Nord, les Touareg vous offrent le thé. Lorsqu'on voyage en Asie, les chinois, les Japonais vous offrent le thé. En Inde c'est la même chose. C'est un breuvage qui fait vraiment partie de l'histoire de l'humanité. Je vous rappelle que la guerre de l'Indépendance a été déclarée à la fin du XVIIIe siècle à cause du « Boston tea Party », où les Américains avaient jeté des caisses de thé dans le port de Boston, c'est ce qui a déclenché la guerre d'indépendance américaine. Le thé fait partie de l'histoire de l'humanité. Le thé, du point de vue médical, a plusieurs propriétés. C'est une source de polyphénol unique que l'on retrouve en grande quantité dans le thé qu'on appelle les catéchines. Cela porte des noms très amusants epigalo, catéchine, gala, et ainsi de suite. Cela représente jusqu'à 30 % du poids sec du thé. Or, il y a beaucoup d'études qui montrent qu'en plus d'être des antioxydants, ces molécules ont des actions majeures sur la réduction de l'incidence des cancers. Il y a des études qui ont montré jusqu'à 57 % de réduction de l'incidence du cancer colorectal chez les grands buveurs de thé. Les polyphénols ont également des actions majeures au niveau d'un phénomène très important dans le développement des tumeurs qu'on appelle angiogenèse. L'angiogenèse c'est la formation de vaisseaux sanguins à l'intérieur de la tumeur et les derniers médicaments de chimiothérapie qui ont été approuvés pour le traitement du cancer sont des médicaments qui ciblent le développement de ces vaisseaux-là en asphyxiant la tumeur. Or, les catéchines que l'on retrouve dans le thé vert ont la propriété d'inhiber la formation des vaisseaux sanguins associés aux tumeurs. C'est donc un breuvage santé, le thé vert. Plutôt que de prendre des boissons remplies de sucre qui n'ont pas de propriétés nutritives avec des calories vides, lorsqu'on a soif, c'est de l'eau ou du thé que l'on devrait boire. C'est excellent pour la santé et c'est excellent au goût.



Les bienfaits du vin rouge

Le raisin est un des fruits les plus répandus et un des fruits les plus anciens sur terre, on estime que la fabrication du vin remonte à environ 7000 ans. Cela aurait d'abord été initié en Chine et dans le Caucase, et dans toute l'histoire de l'humanité et dans toute l'histoire des médecines, le vin rouge a toujours été associé à des bénéfices santé, avec raison.


On parle de consommation modérée de vin rouge, on parle d'un à deux verres pour les hommes et d'un seul verre pour les femmes et un verre c'est 120 ml, consommation très modérée donc, on parle évidemment de gens qui n'ont pas d'histoire d'alcoolisme familiale ou d'histoire d'alcoolisme personnelle, mais lorsque nous n'avons pas d'histoire d'alcoolisme, le vin rouge est un aliment santé. Une réduction d'environ 20 % à 30 % de mortalité totale associée à une consommation très modérée de vin rouge et c'est associé à la présence, dans le vin rouge, à cause du processus de fermentation, de toute sorte de molécules, les acides phénoliques, différents types de molécules les anthocyanes, mais surtout des molécules que l'on ne retrouve que dans le vin rouge qui s'appelle le resvératrol. Le resvératrol, et les autres molécules du vin rouge ont été associés à des effets cardiovasculaires très importants. Cela diminue l'agrégation plaquettaire, cela favorise la fluidité du sang. Il y a des études qui ont montré des effets importants au niveau de la réduction des maladies cardiaques au niveau même de la formation des accidents vasculaires cérébraux. Il y a des gens qui postulent que cela serait impliqué également dans une réduction de l'incidence de la maladie l'Alzheimer. Le vin rouge et les molécules qui le composent, cela fait partie également des molécules qui ont été identifiées comme ayant des rôles dans la prévention du cancer. Cela inhibe l'initiation, la promotion et la progression de certaines cellules cancéreuses. Ce sont des molécules assez rares, et je pense qu'il y a possibilité d'intégrer les molécules que l'on retrouve dans le vin rouge, dans l'alimentation globale. On ne se mettra pas en santé juste en consommant du vin, mais la consommation des produits dérivés du vin rouge et des produits associés au vin rouge peut faire partie d'une stratégie de santé qui sert à nous garder en santé le plus longtemps possible en prévenant l'apparition des maladies chroniques comme les maladies cardiovasculaires et le cancer.


Qu'est-ce qu'un prébiotique?

 Toutes les bactéries ne sont pas mauvaises. Certaines bactéries sont excellentes pour la santé. On parle des bifidobactéries, des lactobacilles qui colonisent notre tube digestif, essentiellement notre intestin. On estime qu'un corps humain contient 10 fois plus de bactéries que de cellules humaines, cela donne une idée de l'importance du rôle des bactéries dans notre santé.


Il y a certains produits qu'on appelle prébiotiques qui ont pour rôle de stimuler la croissance de certaines bactéries qui sont bonnes pour notre santé. Or, ces prébiotiques-là, il y en a deux très connues, l'oligofructose et l'inuline. L'inuline se retrouve dans l'ail, l'oignon, l'asperge et surtout dans la racine de chicorée. La caractéristique moléculaire de l'inuline c'est de produire des acides gras à chaine courte comme l'acétate et butera. Ces acides gras à chaine courte sont impliqués dans le maintien d'une bonne fonction intestinale et cela nous aide à nous maintenir en santé. Il y a des études qui montrent clairement que les prébiotiques sont associés à une réduction de l'incidence des cancers colorectaux. Cela inhibe la prolifération des cellules cancéreuses de l'intestin et bloque l'invasion des cellules cancéreuses au niveau de l'intestin. Cela a également un rôle au niveau de la constipation, et également un rôle au niveau des maladies inflammatoires de l'intestin comme la maladie de Crohn et les colites ulcéreuses. Cela a également un rôle sur la réduction des triglycérides associés à une mauvaise alimentation. Les prébiotiques, c'est une nouvelle classe d'aliments fonctionnels qu'on devrait intégrer le plus possible dans notre alimentation.
Professeur Richard Beliveau
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Les fruits et légumes, une source d'agents anticancéreux

La recherche effectuée au cours des dernières années est en effet parvenue à mettre en évidence que plusieurs végétaux faisant partie du quotidien alimentaire de certaines cultures constituaient des sources exceptionnelles de molécules possédant la capacité d'interférer avec divers processus à l'œuvre dans le développement des cancers. Ces molécules, appelées composés phytochimiques, sont présentes en très grandes quantités dans plusieurs aliments et boissons consommés par l'homme. Une alimentation quotidienne contenant un mélange de fruits, de légumes et des boissons tels le thé vert et le vin rouge contient environ 1 à 2 g de ces composés phytochimiques par jour, ce qui correspond à l'ingestion d'environ 5,000 à 10,000 composés différents. Ces molécules font partie de familles chimiques bien définies, comme les polyphénols (flavonoïdes, isoflavones, catéchines), les composés sulfurés (isothiocyanates, diallyl suphides) et les terpènes (caroténoïdes, monoterpènes). À plusieurs égards, les aliments contenant de grandes quantités de ces molécules possèdent des propriétés thérapeutiques analogues à celles de médicaments d'origine synthétique et nous proposons de les désigner par le terme alicaments pour représenter ces propriétés. De plus, alors que les médicaments synthétiques en utilisation chronique présentent une certaine toxicité pour l'organisme, limitant du même coup leur utilisation à des fins de prévention, les molécules anticancéreuses présentes de façon naturelle dans les aliments ont été sélectionnées par l'évolution comme étant bénéfiques pour la santé et sont donc dépourvues d'effets secondaires néfastes. Il est donc possible d'utiliser quotidiennement ces molécules pour contrer le développement du cancer.

La prévention

L'intégration des alicaments dans le régime alimentaire revêt d'autant plus d'importance que nous sommes constamment à risque de développer un cancer. En effet, la majorité des individus ont, cachées dans les tissus, des cellules transformées précancéreuses qui ne demandent qu'un environnement favorable pour se développer. L'utilisation des molécules anticancéreuses présentes dans l'alimentation comme arme préventive constitue donc une approche essentielle pour maintenir ces tumeurs dans un état latent et prévenir qu'elles ne progressent jusqu'au stade de cancer avancé.
Cette approche peut être comparée à une chimiothérapie utilisant l'arsenal de molécules anticancéreuses présent dans les aliments pour combattre les cellules cancéreuses qui se développent spontanément. La prévention du cancer par l'alimentation constitue donc un outil complémentaire que tout individu peut employer pour supplémenter son organisme en agents anticancéreux d'origine nutritionnelle. La consommation régulière de fruits et légumes correspond à une chimiothérapie préventive qui s'exprime à plusieurs niveaux, pour contrer le développement de cancer :
  1. Cytotoxicité tumorale
  2. Action antiangiogénique
  3. Modulation de la réponse immunitaire
  4. Augmentation de l'absorption intestinale ou inhibition du métabolisme hépatique
Combattre le développement du cancer par l'alimentation, c'est donc utiliser les molécules anticancéreuses présentes dans certains aliments pour créer un environnement hostile aux cellules cancéreuses, pour bombarder quotidiennement ces microfoyers tumoraux et ultimement, empêcher leur croissance (ainsi que le fait la chimiothérapie). Les tissus sont donc le champ de bataille où se livre continuellement un combat entre des cellules mutantes qui cherchent à se développer en entité autonome pour dégénérer en cancer et nos mécanismes de défense qui veulent préserver l'intégrité de l'organisme. Si le régime alimentaire contient une prépondérance de mauvais aliments ou encore une carence en aliments protecteurs, comme certains fruits et légumes, les tumeurs latentes se retrouvent dans un environnement plus favorable à leur croissance et risquent de se transformer en cancer. À l'inverse, si l'alimentation est riche en aliments protecteurs et ne comprend qu'une faible proportion d'aliments déclencheurs, les microtumeurs n'arrivent pas à croître suffisamment et les risques de développer un cancer sont moindres


Régime de prévention du cancer (1-2)

À la lumière des données scientifiques actuellement disponibles sur le potentiel anticancéreux des composés d'origine alimentaire, il est possible de composer ce qu'on pourrait appeler le régime optimal pour prévenir le cancer, c'est-à-dire un régime alimentaire basé en majeure partie sur un apport en aliments connus comme étant des sources exceptionnelles de molécules anticancéreuses. En effet, plusieurs des molécules qui possèdent les plus fortes activités de prévention du cancer ne sont présentes que dans certains aliments bien précis et il est crucial d'intégrer ces aliments de façon préférentielle dans l'alimentation si on veut maximiser la protection contre le cancer. Il s'agit d'un aspect important de cette stratégie car la présence de différentes classes de molécules anticancéreuses permet de prévenir le développement du cancer en interférant avec plusieurs processus impliqués dans la progression de cette maladie. Aucun aliment ne contient à lui seul toutes les molécules anticancéreuses pouvant agir sur tous ces processus, d'où l'importance d'intégrer une grande variété d'aliments dans le régime alimentaire (voir le guide ci-après). Par exemple, un apport en légumes crucifères ainsi qu'en légumes de la famille de l'ail aide l'organisme à éliminer les substances cancérigènes, réduisant du même coup leur capacité de provoquer des mutations dans l'ADN et de favoriser l'apparition de cellules cancéreuses. En parallèle, l'absorption de thé vert, de petits fruits ainsi que de soja prévient la formation de nouveaux vaisseaux sanguins nécessaires à la croissance des microtumeurs et permet de les maintenir dans un état latent : effet antiangiogénique.

Régime de prévention du cancer (2-2)

Certaines molécules associées à ces aliments agissent même à plusieurs stades du processus de formation du cancer et maximisent la protection offerte par l'alimentation. Le resvératrol du raisin, par exemple, agit sur les trois stades du processus de développement du cancer. La génistéine du soja qui, en plus d'être un phytoestrogène, est également un inhibiteur puissant de plusieurs protéines impliquées dans la croissance incontrôlée des cellules cancéreuses. Cette diversité de molécules anticancéreuses de l'alimentation est importante, car les cellules cancéreuses possèdent de multiples atouts pour croître et il est certainement illusoire d'envisager de contrôler leur capacité à contourner les obstacles en utilisant des molécules anticancéreuses qui interfèrent avec un seul processus. La combinaison de plusieurs aliments, possédant tous des composés anticancéreux distincts, permet non seulement de viser différents processus associés à la croissance des tumeurs, mais également d'accroître leur efficacité d'action. En fait, grâce à cette synergie, l'action anticancéreuse d'une molécule peut être augmentée considérablement par la présence d'une autre molécule, une propriété extrêmement importante pour les composés d'origine alimentaire qui sont généralement présents en faibles quantités dans la circulation sanguine. Un des meilleurs exemples de synergie est la propriété d'une molécule du poivre, la pipérine, d'augmenter plus de 2,000 fois l'absorption de la curcumine ce qui permet d'atteindre des quantités de curcumine sanguine susceptibles de véritablement modifier le comportement agressif des cellules cancéreuses.
La modification du régime alimentaire de façon à intégrer certains aliments constituant des sources exceptionnelles de molécules anticancéreuses représente donc une des meilleures armes actuellement à notre disposition pour contrer le cancer.

Des aliments contre le cancer

( Dans le 2éme article plus haut, j'ai mi la liste des fruits et légumes qui contiennes le plus de molécules anti-cancer )
On estime présentement que l'alimentation est responsable de plus du tiers des cancers, démontrant l'importance d'une alimentation saine pour réduire l'incidence de même que la progression du cancer. De nombreuses études fondamentales, cliniques et épidémiologiques ont montré qu'une consommation accrue en fruits et légumes, représente un facteur clé dans la réduction du risque de cancer. En effet, ces aliments contiennent une quantité importante de composés phytochimiques qui jouent un rôle crucial dans cet effet chimiopréventif. En plus des fruits et légumes, les travaux de recherche récents ont permis de montrer que d'autres aliments, peu présents dans l'alimentation occidentale, tels le thé vert, l'ail, le soya et l'épice curcuma, possèdent également une grande quantité de composés anticancéreux. Des aliments de ce type sont appelés "alicaments".
Un régime quotidien combinant ces alicaments permet l'absorption d'une quantité de composés phytochimiques anticancéreux pouvant atteindre 1 à 2 g par jour. L'apport quotidien de ces différents aliments dans le régime alimentaire constitue un moyen simple et efficace pour contrer le développement et la progression du cancer.
Professeur Richard Beliveau 
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Professeur Richard Beliveau conseille ce site.

Une pizza santé, c’est possible !

pizza-salade

Et si au lieu de servir de la salade pour accompagner une pizza riche en garniture grasse, vous serviez directement la salade sur la pizza ? Faites cuire la pâte sur laquelle vous aurez déposé une sauce tomate maison (plus riche en antioxydants qu’une tomate fraîche) et déposez-y, ensuite,  la salade, assaisonnée d’une vinaigrette légère, et toutes sortes de légumes crus.  On a aujourd’hui trop tendance à les faire cuire alors qu’ils contiennent plus de nutriments et seraient davantage bénéfiques pour la santé à l’état cru. Enfin, parsemez votre pizza de noix en tout genre et en quantité modérée. Elles sont riches en antioxydants et en acides gras oméga-3 mais possèdent une forte densité énergétique. 
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=pizza-sante-possible-faites-le-choix-original-d-une-pizza-salade-
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la vitamine C


La vitamine C est hydrosoluble, c'est-à-dire qu'elle est soluble dans l'eau. Même si la plupart des mammifères peuvent la synthétiser, l'organisme humain en a perdu la capacité au cours de l'évolution. Il doit donc la puiser chaque jour dans les aliments. La vitamine C est absorbée principalement par l’intestin grêle et, en beaucoup plus faible quantité, dans la bouche et l’estomac; elle est éliminée par l'urine. Dans l'organisme, elle est surtout présente dans le cristallin de l’œil, les globules blancs, l'hypophyse, les glandes surrénales et le cerveau.
La vitamine C participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d'aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Elle contribue aussi au maintien de la fonction immunitaire, elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l'absorption du fer contenu dans les végétaux.
Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.

Sources alimentaires de vitamine C

Ce sont les fruits et les légumes colorés et crus qui contiennent le plus de vitamine C : poivron rouge, orange, citron, pamplemousse, cantaloup, framboise, fraise, brocoli, tomate, etc.
Généralement, la consommation d'au moins 5 portions de fruits et de légumes frais permet de combler largement les apports nutritionnels recommandés en vitamine C. (Consulter le Guide alimentaire canadien pour savoir à quelle quantité correspond 1 portion de fruit ou de légume).
Attention. L'air, l'eau et la chaleur peuvent détruire la vitamine C contenue dans les aliments. Pour préserver la vitamine C dans les aliments, il est donc conseillé de cuire les légumes rapidement dans le moins d'eau possible (à la vapeur, au four micro-ondes ou à la chinoise, par exemple). 

Les meilleures sources de vitamine C

           Aliments                                                    Portions                                      (mg)

1 : Goyave;                                                125 ml (1/2 tasse);                            199 mg

2 : Poivron rouge, cru ou cuit;                  125 ml (1/2 tasse);                          101-166 mg

3 : Poivron vert, cru ou cuit;                     125 ml (1/2 tasse);                          54-132 mg

4 : Papaye;                                                ½ papaye (153 g);                            94 mg

5 : Kiwi;                                                   1 fruit moyen (76 g);                           71 mg

6 : Orange;                                               1 fruit moyen;                                     70 mg

7 : Jus d’orange;                                       125 ml (1/2 tasse);                         43-66 mg

8 : Mangue;                                              1 fruit moyen (207 g);                        57 mg

9 : Brocoli, cru ou cuit;                             125 ml (1/2 tasse);                            42-54 mg

10 : Choux de Bruxelles cuits;                   4 choux (84 g);                                52 mg

11 : Fraises;                                              125 ml (1/2 tasse);                           52 mg

12 : Jus de pamplemousse rose ou blanc;   125 ml (1/2 tasse);                    36-50 mg

13 : Chou-rave cuit;                                   125 ml (1/2 tasse);                          47 mg

14 : Pamplemousse rose ou blanc;              ½ pamplemousse;                          42 mg

15 : Jus de légumes;                                   125 ml (1/2 tasse);                          35 mg

16 : Ananas;                                              125 ml (1/2 tasse);                          34 mg

17 : Cantaloup;                                          125 ml (1/2 tasse);                          31 mg

18 : Carambole;                                         1 fruit moyen (88,9 g);                     31 mg

19 : Pois verts crus;                                    125 ml (1/2 tasse);                          31 mg 

20 : Chou-fleur cuit;                                   125 ml (1/2 tasse);                           29 mg

Vos besoins quotidiens en vitamine C


Bébés 0-6 mois          40 mg*
Bébés 7-12 mois          50 mg*
Bébés 1-3 ans          15 mg
Enfants 4-8 ans               25 mg
Garçons 9-13 ans          45 mg
Filles 9-13 ans          45 mg
Garçons 14-18 ans          75 mg
Filles 14-18 ans          65 mg
Hommes 19-50 ans          90 mg
Femmes 19-50 ans          75 mg
Hommes 50 ans et +          90 mg
Femmes 50 ans et +          75 mg
Femmes enceintes          85 mg
Femmes qui allaitent         120 mg

*Apports suffisants
Les fumeurs devraient augmenter leur apport en vitamine C de 35 mg par jour.
http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/PalmaresNutriments/Fiche.aspx?doc=vitamine_c_nu
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